J’ai 8 ans et je m’appelle Jean rochefort

À 12H50

Du 5 au 26 juillet – Salle 2
Relâches les mercredis 9, 16 et 23

Seul en scène • Théâtre contemporain  / Durée : 1h15 / Plein Tarif: 24€ / Tarif OFF: 17€
À partir de 10 ans

CRÉATION 2025

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J'ai 8 ans et je m'appelle Jean Rochefort de Adele Fugere avec Thomas Drelon Theatre des Beliers Avignon

Résumé

Après « Je m’appelle Bashir Lazhar » Thomas Drelon revient avec cette nouvelle adaptation d’un roman à succès !

Drôle, poétique, inventif, absurde et incroyablement émouvant.


Rosalie Pierredoux, 8 ans, sent toute la tristesse du monde peser sur ses épaules. Un matin, sans prévenir, Jean Rochefort et sa moustache vont changer son regard.

C’est l’histoire de Rosalie, et c’est aussi l’histoire de Jean. C’est l’histoire d’une dépression enfantine, d’une angoisse face au monde qu’une moustache et un esprit fantasque vont réparer.
Une épopée minuscule certes, mais une épopée. Qui nous ramène vers la joie. Avec délicatesse, humour, et un brin de nostalgie.


Générique

Autrice : Adèle Fugère
Metteur en scène : Morgan Perez
Avec : Thomas Drelon

Concepteur lumière : Patrick Touzard • Musique originale : Théo Glaas • Scénographie : Capucine Grou-Radenez • Costumes : Bérengère Roland • Vidéos : Édouard Granero

Production : Théâtre des Béliers
Contact diffusion : Les Béliers en tournée • camille@beeh.fr



Note de création • Thomas Drelon

« Rosalie Pierredoux, 8 ans, sent toute la tristesse du monde peser sur ses épaules. Un matin, sans prévenir, Jean Rochefort et sa moustache vont changer son regard.
Une épopée minuscule et poétique, délicatement absurde et d’une drôlerie extraordinaire, capable de chasser les idées les plus noires, complètement à rebours de l’époque que nous traversons : brutale, cynique, et totalement dépourvue de fantaisie.
Une époque qui pouvait désespérer Jean Rochefort mais qui alimenta aussi ses coups de gueule et ses plus belles saillies drolatiques.
Trouver sa place dans ce monde sans perdre son cœur est un défi. Pour y parvenir, on a parfois besoin d’un super pouvoir, et il peut arriver qu’un super-pouvoir réside dans une moustache.
En particulier quand il s’agit de celle de Jean Rochefort. » 


EXTRAIT

«  Le lendemain matin, je me suis levé. Je devais aller à l’école. Mais j’avais un truc qui me chatouillait au-dessus de la bouche. J’ai touché. Ca piquait un peu. Mais c’était doux aussi. Je suis allé dans la salle de bain. Je suis monté sur le rehausseur pour voir dans la glace. Et je me suis vu. Avec une moustache. J’ai souri. Je n’avais plus l’air de ce que j’étais. Je me suis dit : « Jean, ça te va bien. »»