Le miracle des grenouilles
À 11H05
Du 5 au 26 juillet – Salle 2
Relâches les mercredis 9, 16 et 23
Théâtre contemporain / Durée : 1h15 / Plein Tarif: 24€ / Tarif OFF: 17€
À partir de 12 ans
CRÉATION 2025
Résumé
Trois sœurs se retrouvent pour une soirée dans la maison de leur enfance. À l’étage, leur mère délirante ne parle plus qu’à des singes et à un mystérieux saint oublié. Aucune des sœurs ne semble vouloir monter l’escalier qui mène à sa chambre. Alors on boit, on parle, on hurle, on esquive. Entre visions mystiques, règlements de comptes, vieilles chansons et corps qui lâchent, la tragédie prend des airs de comédie (ou l’inverse).
Générique
De : Ariane Boumendil
Mise en scène : Ariane Boumendil et Constance Carrelet
Avec : Pascale Oudot, Ludivine de Chastenet et Ariane Boumendil
Scénographie et lumières : Jean-Luc Chanonat • Création sonore et musicale : Katia Mayen • Avec la voix de : Véronique Müller • Collaboration artistique : Pascale Boumendil, Marie Doiret
Coproduction : Les Vagues Tranquilles, Matrioshka productions, Théâtre des Béliers, La Pépinière Théâtre.
Production déléguée : Tapioca production
Soutiens et résidences : festival Chemo-Chantiers, festival des Mises en Capsules, Café de la Gare, Théâtre Lepic, Ateliers Francœur
Contact diffusion : angelina@tapiocaetmoi.com
Comment affronter la fin de vie d’un parent sans exploser en vol ? Le miracle des grenouilles nous plonge dans un dîner de famille où trois sœurs tentent de cohabiter sans sombrer.
L’espace de jeu est une maison à bout de souffle, bancale et désordonnée, un corps commun inconfortable, où personne ne trouve plus sa place.
“Nous avons voulu faire un théâtre du réel, cru et tendu, où la violence des non-dits cohabite avec la complicité des éclats de rire. La mort rôde, mais elle n’écrase pas : elle fait disjoncter. Un drame, oui. Mais fait de situations si extrêmes et décalées qu’il en devient drôle. Nous tentons de faire émerger la tendresse au cœur du chaos, la mémoire commune, l’amour et les liens indéfectibles au cœur du drame. Tout ce qui surgit si fort, justement quand tout se délite.”